Échographie au point d’intervention : Tristel mobilise son expertise unique

« L’échographie au point d’intervention, aussi connue sous les termes ”Point of Care Ultra- sound” (POCUS), a dès l’origine retenu notre attention : cette modalité en pleine expansion voit le dispositif d’imagerie se rendre là où se trouve le patient et non l’inverse. Pour que l’examen se fasse en toute sécurité, il faut donc pouvoir effectuer une désinfection de niveau approprié des dispositifs, et ce, à l’endroit même où se trouve le patient. C’est justement là qu’interviennent Tristel et sa chimie unique issue de la synthèse du ClO2 », explique le directeur de Tristel France, Bart Leemans. Cette technologie complexe s’impose en effet comme la solution la plus pertinente pour assurer la sécurité de l’acte échographique au point d’utilisation, qu’il s’agisse d’une intervention invasive par voie endocavitaire, d’une procédure stérile comme la pose d’un cathéter central veineux, ou pour orienter rapidement la prise en charge d’un patient arrivé aux urgences et non transportable. Avec des solutions simples d’utilisation, Tristel met à portée de main la désinfection de haut niveau des dispositifs médicaux semi-critiques, en offrant la plus pratique, rapide (30 secondes seulement), portable et efficace des solutions. « Nos  désinfectants par essuyage ont été validés sur les types 16 et 18  du HPV, responsables de la très large majorité des cancers aérodigestifs et du col de l’utérus. Les tests ont été menés par un laboratoire expert sur les virus natifs et non sur des substrats, et les résultats ont fait l’objet d’une publication dans le Journal of Medical Virology   », insiste Christian Faure, directeur commercial de Tristel France.

Et ce sont loin d’être les seules spécificités qui démarquent clairement Tristel des autres acteurs du marché. Le fabricant est en effet, d’une part, en capacité d’offrir une désinfection à 360° des dispositifs d’échographie, y compris sur les composants habituellement non pris en charge par les appareils automatisés alors même que des micro-organismes peuvent y subsister, comme les boîtiers de connecteurs, les câbles, les supports de sondes et les claviers. Il est, d’autre part, en mesure de couvrir les protocoles de désinfection dans leur intégralité, nettoyage préalable inclus. « Tous les hygiénistes le disent et le répètent : on ne désinfecte que ce qui est propre. Mais ce volet est trop souvent négligé, notamment lorsque la désinfection est automatisée », note Christian Faure. Pour y répondre, Tristel a mis au point des solutions simples, rapides et 100 % transportables, qui comprennent entre autres les étapes de nettoyage, de désinfection de haut niveau et de traçabilité numérique. 
« Avec l’échographie au point d’intervention, les pratiques médicales évoluent et imposent de faire également évoluer les protocoles de désinfection. Mais il faudrait, pour cela, que les équipes d’hygiène disposent d’une visibilité globale sur les équipements présents au sein de l’établissement et sur les méthodes utilisées pour les désinfecter. Or c’est là une tâche chronophage pour des professionnels déjà en sous-effectif. Tristel propose de mettre son expertise à leur disposition, de les accompagner et leur venir en appui, afin qu’ils puissent justement acquérir cette nécessaire vision transversale et trouver des solutions adaptées à chaque situation », conclut Bart Leemans.


Article publié dans l'édition de décembre 2021 d'Hospitalia à lire ici.

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